Journée Internationale des droits de la femme, c’était ce 8 mars. La Cour suprême du Bénin n’est pas restée en marge

de la célébration de cette journée cette année.

A l’entame de la cérémonie, le Président de la Cour suprême Victor Dassi ADOSSOU a reconnu la bravoure de toutes les femmes de l’institution ; ces amazones qui participent au bon fonctionnement de la plus haute juridiction du Benin. Pour le président de la cour suprême, la femme se doit d’être consciente de ses atouts qu’elle doit mettre au service de sa communauté. Le premier président de l’institution dit œuvrer tout au long de son mandat pour faire valoir les mérites de la femme.

A l’occasion de la célébration de cette journée autour du thème « pour un monde digital inclusif : Innovation et technologie pour l’égalité des sexes » retenu cette année par les nations unies, deux communicateurs ont été identifiés pour la circonstance par la Cour suprême. La première en la personne de Madame PATHINVO Marie Josée conseiller à la cour suprême a mis l’accent sur l’évolution technologique et numérique. Pour elle les relations sociales et professionnelles ont connu une avancée au moyen de la digitalisation. Pour le communicateur c’est un appel lancé à la gent féminine à ne pas se laisser marginaliser par les limites de l’éducation. Le digital étant à la portée de tous, elle exhorte les femmes à s’investir dans ce domaine qui ne compte pas encore autant de femmes.

Quant à madame Edwige Aklou TANGNI, vice-présidente de l’association internationale des femmes juges, chapitre béninois, invitée et coprésentatrice de la communication, elle abonde dans le même sens et renchérit. Les femmes se doivent de se mettre à jour. Pour elle c’est à compétence égale que les hommes pourront laisser les femmes occuper l’espace dans les différentes responsabilités. « Le monde numérique nous convoque contre notre grée, alors femmes, accrochez-vous » a-t-elle conclu.

Cell.Com. Cour suprême du Bénin

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